IL faut parfois être patient et laisser du temps au temps

Si l’on s’est laissé porter dans sa carrière jusque là, à quarante ans il faut trouver un appui pour franchir de nouveaux échelons. Chez quelques-uns on sent un très fort potentiel et il faut arriver à casser délicatement mais suffisamment la coque de la noix pour y révéler le cerneau, mais gare aux déceptions. Il faut bien les deux, le beau cerneau qui existe avant d’être révélé et le casse-noix adapté pour le découvrir sans le briser. Il faut parfois être patient et laisser du temps au temps.

Entretien avec Alain S.
Directeur dans une grande entreprise française