François CavannaAprès une série de conneries que je vous raconterai peut être un jour, si ma main permet – ah oui, parce qu’il y a aussi ma main, maintenant, mais elle, c’est pas Adolf, c’est mademoiselle Parkinson, des jours elle me fout un peu la paix, d’autres fois, rien à faire. Comme aujourd’hui tiens. Je me cramponne au stylo d’une main, de l’autre à la table, tout ça pour mouler un pauvre gribouillis illisible, un mot toutes les cinq minutes. Faudrait que je vous montre le fac-similé, mais j’ai honte. Claviste, pardon.