François CavannaJ’écris cela et je pleure, »pour de vrai », à grosses lourdes larmes. Je pleure de tout mon cœur et mes pleurs feront pleurer le lecteur car je suis un bon écrivain, un consciencieux, si je veux faire pleurer il faut que d’abord que je me fasse pleurer, moi. Métier de pute, mais oui. Et alors?