On donne presque toujours raison au plus fort. C’est bien sûr aussi valable pour Nicolas G. hayek et c’est la raison pour laquelle je m’efforce d’être toujours juste. J’ai d’ailleurs souvent dit à mes collaborateurs que la plus belle inscription que je puisse imaginer sur ma pierre tombale serait : « Il était juste, ou en tout cas il a toujours essayé de l’être. »